Blue Soft Empower regorge de beaux profils, aussi variés qu’atypiques. Cette semaine, nous avons tendu le micro à Genséric. D’abord architecte technique, Genséric a évolué dans sa carrière et est aujourd’hui le TeamLeader Modern Workplace Teamwork chez Empower.
Arrivé chez Empower il y a maintenant 11 ans, Genséric a gravi les échelons. D’abord expert technique, il est aujourd’hui l’un de nos TeamLeaders. Retour sur son parcours au sein de Blue Soft Empower.
Qui es-tu ?
GA. Je m’appelle Genséric Augagneur, je suis le TeamLeader de l’équipe Modern Workplace Teamwork chez Empower. Il s’agit de l’équipe qui se charge de toute la partie communication unifiée chez Microsoft, de Exchange, avec toutes ses implémentations, à la partie communication directe, visioconférence, téléphonie et tout ce qui va de Skype à Teams.
Comment es-tu arrivé chez Blue Soft Empower?
GA. Je suis arrivé en 2011. Mon intégration a été assez rapide, parce qu’à l’époque, j’étais le seul à faire ce que je faisais, notamment la partie Exchange. Je suis arrivé et, trois jours après, je suis parti en production et je ne me suis jamais ennuyé depuis.
Quel a été ton parcours de formation ?
GA. Mon parcours est un peu spécial puisqu’au départ, je me destinais à être pilote de chasse et un jour j’ai appris après maints tests que j’étais trop grand pour rentrer dans les avions français (rires). J’ai dû alors me reconvertir.
J’ai passé un bac S classique. Étant maître-nageur à l’époque, j’avais déjà goûté au monde du travail et je voulais travailler rapidement.
J’ai fait un DUT informatique, à La Doua, à Lyon. À la sortie de mon DUT, je suis parti dans l’informatique en tant que technicien informaticien et après administrateur systèmes et réseaux. Et, petit à petit, je me suis penché sur le système plus à fond, avec la messagerie notamment.
On me dit dans l’oreillette que tu as aussi un parcours autodidacte…
GA. À l’époque, ça n’existait pas trop les formations, les écoles d’ingénieurs pour devenir expert en messagerie. Une grosse partie de mon background est donc soit purement autodidacte, puisque j’ai appris avec les anciens qui m’apprenaient le métier – comme on essaye aujourd’hui de le faire dans l’équipe – soit avec des formations. Google n’existait pas autant à l’époque.
D’ailleurs, aujourd’hui, quand je cherche des profils pour mon équipe, je ne regarde pas le niveau d’études, mais plutôt l’expérience.
Comment as-tu évolué au sein de l’entreprise ?
GA. Je suis arrivé comme expert technique. Puis, un poste de TeamLeader a été ouvert, mais je trouvais à l’époque que je n’avais pas forcément la capacité à le faire, donc je n’avais pas postulé.
Ensuite, vu que les équipes grossissaient, des postes ont été ouverts. C’étaient des postes de managers, mais ce n’était pas encore des TeamLeaders. C’est-à-dire qu’on commençait à prendre un peu la main sur l’équipe, mais sans être Teamleader. Puis, au fur à mesure, on ajoutait des briques de management.
C’est un dispositif qui a été fait pour nous accompagner pour, finalement, devenir TeamLeader, il y a quatre ou cinq ans. J’ai donc passé la moitié de ma vie ici en tant qu’expert et l’autre moitié en tant que TeamLeader.
Quel est ton style de management ?
GA. La peur, bien évidemment. C’est ce qui marche le mieux. Non, je déconne (rires).
Aujourd’hui, mon équipe, je la vois véritablement comme une équipe, c’est-à-dire qu’on essaie de prendre des personnes qui sont vraiment soudées entre elles. Quand on a un·e collègue qui est dans la panade, on a des canaux pour se contacter et on va l’aider s’il ou elle est vraiment coincé·e.
Côté management, je vais essayer d’être le référent pour l’équipe sur le plan technique, même si à certains endroits elle me dépasse et c’est normal, elle est plus souvent sur des projets que moi.
Une journée type dans l’équipe Modern Workplace Teamwork, ça ressemble à quoi ?
GA. Une journée type d’une personne de mon équipe, c’est une intervention chez le client. On a une mission, un objectif. Par exemple, hybrider Exchange avec Office 365. On va aller mettre en place les prérequis techniques puis les briques techniques nécessaires ? Ensuite, on va valider que tout fonctionne et que tout est attendu tel quel.
De mon côté, en tant que TeamLeader, j’ai une brique de management supplémentaire qui est apparue, de façon plutôt quotidienne. Je gère les plannings, je vais voir les commerciaux et commerciales pour savoir s’il y a des projets en cours ou des projets qui vont arriver. Je gère le pipe de l’équipe et je gère aussi les conflits et les urgences.
Notre service client peut ainsi avoir besoin d’aide. Dans ce cas-là, c’est moi qui vais décider ou pas de défrayer quelqu’un d’un projet pour répondre à l’urgence, ou traiter l’urgence si je suis capable de le faire pour pouvoir dépanner le client.
Quelle ambiance essayes-tu d’avoir dans ton équipe ?
GA. Tous les matins, on se dit bonjour au travers du canal Teams, comme si on était sur place. Quand on se retrouve au bureau, on fait régulièrement des sorties, pour qu’on puisse discuter et faire du team building régulier.
Une autre clé est la communication régulière. On a une réunion d’équipe tous les lundis. On y discute soit des problèmes en cours, soit de comment s’est passé le weekend. Il n’y a pas de planning.
Si j’ai quelque chose à annoncer, je peux l’annoncer à ce moment-là. Il y a également une petite revue trimestrielle pour donner des chiffres, parce que c’est important pour l’équipe de savoir où elle en est, et à quoi sert son boulot.
On essaye de garder cette bonne humeur, que ce soit agréable à travailler. Comme je dis souvent, c’est un métier-passion. Alors j’essaye de faire en sorte, pour ceux qui sont dans l’équipe, que ce soit aussi un métier-passion.
Quelle est l’ambiance globale dans l’entreprise et avec le groupe ?
GA. Il y a un vrai souci de la personne dans la direction. L’intégration à Blue Soft a été positive, parce qu’on voit bien qu’on va garder notre identité, on s’intègre petit à petit au groupe Blue Soft, on interagit avec eux.
L’ambiance entre les équipes ?
GA. Aujourd’hui, entre TeamLeaders, on s’entend super bien. Il y a vraiment des échanges et vraiment des passerelles entre nous. Avec le commerce aussi. On a des relations qui sont très très bonnes et de l’entraide entre nous. Quand l’un ne peut pas, c’est l’autre qui fait, quand il y a un problème, les équipes se mobilisent entre elles. Il y a vraiment une bonne synergie entre les équipes
Quelque chose à ajouter ?
GA. Venez !